• CHANGE YOUR LIFE •
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

• CHANGE YOUR LIFE •

Avez-vous déjà pensé pouvoir vivre une autre vie ?
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Bienvenue sur le Forum !
N'oubliez pas de voter et de faire de la pub pour le forum pour attirer du monde et s'amuser encore plus !
Le Deal du moment :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : ...
Voir le deal

 

 Lily A. Black - Fille des Trottoirs reconvertie

Aller en bas 
AuteurMessage
Lily A. Black
» Fondatrice Lily la jolie «
» Fondatrice Lily la jolie «
Lily A. Black


♪ Messages : 68
♪ Age : 26

Dis Nous Tout !
♪ Nom Prénom(s): Lily Abigaïl Black
♪ Age :: 22 ans
♪ Groupe :: Riche

Lily A. Black - Fille des Trottoirs reconvertie Empty
MessageSujet: Lily A. Black - Fille des Trottoirs reconvertie   Lily A. Black - Fille des Trottoirs reconvertie EmptySam 28 Avr - 15:33

Lily A. Black - Fille des Trottoirs reconvertie 25i0rok
❝ Lily Abigaïl Black ❞

Bonjour bonjour la compagnie ! Moi c’est Terry Stevens, mais depuis que j’ai échangé ma vie, on m’appelle Lily Black ou Lily. J’ai ouvert les yeux le 4 Novembre à Londres, mais je fais croire que je suis née le 2 Juin en Australie. J’avais 17 ans, mais maintenant, tout le monde croit que j’ai 22 ans. En ce moment, je suis mariée et mère d'un petit garçon et plutôt attiré par les Hommes. Je suis dans le groupe des Riches. Troian Bellisario m’a fait l’honneur de me prêter son visage.


Who am I ?


APPARENCE ■ Inscrivez ici 4 lignes minimum sur le physique de votre personnage

MENTAL ■ Inscrivez ici 4 lignes minimum sur le caractère de vtre perosnnage.



This is my story, my past

Je m’appelle Terry. Terry Margaret Stevens, et j’ai 17 ans. Enfin, j’avais. Tout ça, ça appartient à mon ancienne vie, ma vie de misère, mon lourd passé. Ma toile intime, que je dois protéger plus que tout. Mon secret, ma vie.
Maintenant, je suis Lily Abigaïl Black, femme de Léandre Josh Black, âgée de 22 ans, mère d’un charmant petit garçon de 2 ans nommé Timéo, mais que tout le monde Timmy ou Tim.
Il y a juste un problème. Je suis passé d’une existence à une autre en une fraction de seconde. Un simple oui, et tout mon passé s’effaça pour un autre. Un simple oui, et ma vie n’était plus la même. Un simple oui, et Terry n’existait plus. Un simple oui. Vous ne devez rien comprendre, n’est-ce pas ? Je veux bien l’admettre. J’avoue que moi-même, parfois, je ne sais pas vraiment si tout cela est réel. Mais cela fait déjà six mois. Si long mois. Bon, reprenons depuis le début.

Je suis née dans un quartier de Londres, un de ces quartiers qu’on ne voit jamais sur les cartes postales, un de ces quartiers qu’un guide touristique ne site jamais, un de ces quartiers qu’aucun touriste ne visite jamais. Un quartier pauvre, misérable, ou si l’on ne deal pas, on sombre dans la prostitution. Un quartier où dès que tu nais, tu sais que c’est foutu, tu sais que tu n’auras aucun avenir, aucune chance. T’es nés ici, tu crèveras ici. T’es née dans la misère, tu crèveras dans la misère. Voilà ce que me répétais sans cesse ma mère. Sauf que je suis l’exception. Celle qui brise la chaine, qui change la donne, qui inverse la tendance. L’exception quoi.
A 14 ans, ma mère m’a poussé à dealer. On avait de gros problèmes d’argents, comme un peu tout le monde d’ailleurs. La concurrence est rude, et moi, pauvre adolescente igniarde et fragile, je ne faisais pas le poids contre les musclors de 20 ans, habitués aux flics, aux poignards et autres. Très vite j’arrêtai. Un jour, alors que je trainais avec des amies dans une ruelle sombre, deux hommes s’approchèrent de notre groupe. Ils avaient une casquette vissé sur le crane, une cigarette à la bouche, et un sourie sadique au coin des lèvres. Au début, on faisait mine de ne pas les avoir vu. Les caïds n’aiment pas qu’on leur lance des regards. J’avais appris ça, à force de vivre là-bas. Mais plus ils se rapprochaient, plus c’était dur de les ignorer. Deux filles partirent en courant, échappant aux deux mecs. Moi et ma meilleure amie, on est resté. Pourquoi, je ne sais pas. Peut-être pour ce prouver qu’on n’était pas des mauviettes, qu’on venait des quartiers, alors rien nous effrayaient. A moins que ce ne soit la peur qui nous est paralysé. Je ne sais plus. Et là, un des deux mecs prit Jane par le bras, l’assis sur une poubelle poisseuse et commença à la déshabillée. Elle me regarda l’air triste mais ne fit rien. On s’avait toutes qu’un jour ou l’autre ça arriverais. La vie ici, elle n’est pas toujours rose. L’autre mec se pencha vers moi et passa sa main dans mon décolleté et me léchant le coup. Je ne raconte pas la suite, je pense que vous l’avez deviné.
Après cet évènement, Jane et moi ne nous parlâmes plus. En fait, Jane ne parla plus. Elle resta cloitrée chez elle, pleurant dans son lit. J’appris quelques mois plus tard qu’elle se suicida. Moi j’avais décidée de continuer de vivre, ou plutôt de survivre. J’avais décidé de me battre, et jusqu’au bout. J’étais maintenant forte et fière, comme si l’incident m’avais transformée en femme, en vraie. Je n’avais plus peu de rien. Alors, après une longue discussion avec ma mère, je décidai de devenir une prostituée. Une putain, une pute, comme on dit dans l’bled. Ce n’était pas facile au début, et j’ai bien faillit tout arrêter une centaine de foi, mais quand je voyais ma petite sœur avec ses vêtements tous pourris, je prenant sur moi et partais à la recherche de clients. Petit à petit, je fus connu dans la cité, et ma petite affaire marcha bien. C’était agréable. Pas de s’enchaîner les mecs et de passer sa journée au lit, non. Mais de ramener de l’argent, de sentir le regard fier de ma mère, le sourire heureux de ma sœur, de me sentir utile, tout simplement, ça, oui ça, je trouvais cela agréable, même si cela demandait quelques sacrifices. Après tout, je n’étais pas la seule de ce cas-là, alors je ne voyais pas pourquoi je devrais me plaindre. Il y avait pire, dans la cité.
Ma vie bascula l’année de mes 17 ans. J’attendais le client sur le trottoir quand un homme en costar cravate, chaussure ciré, veste impeccable, coupe soignée et sourire charmeur s’approcha de moi. Je sourie et fit un petit déhanchée pas trop salope, pour pas le repousser. Les gens comme ça, il faut du chic et de la classe, pas n’importe quoi. C’est les années qui m’avaient appris ça. N’empêche que sur le coup, je trouvais cela bizarre, qu’un type comme lui se balade dans un quartier comme ma cité, et qu’il vienne faire les putes à pieds, sans limousine ni gardes du corps. Enfin, je n’allais pas laisser passer la chance de me faire un pactole digne des plus grandes pour quelques misérables questions insignifiantes. Il m’accosta gentiment :
« Bonjour jeune fille »
Moi, je ne savais pas quoi lui répondre. Faire le regard en bien et la voix suave, qui ne demande que ça, ou resté sur la défensive, faire la mystérieuse ? Je choisi un mélange des deux, prête à tous, mais pas tant que ça. A voir.
« Bonjour. Je peux vous aider ? Mes tarifs ne sont pas chers, et vous serrez au paradis… Laissez-vous tenter. »
Je souris gentiment. Et là, il m’attrapa le bras, m’entraina dans une rue sombre et vide, et gardant son sourire charmeur me dit :
« Chuis pas là pour ça, jeune fille.
- Alors je peux rien pour vous. Désolé »
Son « jeune fille » ne me plaisait pas. J’avais dix-sept ans, mais j’en paraissais au moins 20, et j’avais l’expérience d’une femme de 30, alors son jeune fille pour gamine de 10, il pouvait se le mettre ou je pense.
« Oh si tu peux quelques chose pour moi, demoiselle.
- Quoi donc, mon beau. »
J’avais décidé de miser tout sur le langage traditionnel des filles des trottoirs. J’en suis une, autant le faire à fond, non ? J’en ai jamais eu honte, aujourd’hui encore, bien que je le cache.
« Tu vois, avec des amis, on fait des magouilles assez étranges. Ont échanges la vie des gens. Et toi, tu as été choisie. Alors des trottoirs de ta banlieue pourris, tu vas partir pour une maison de luxe. Ce n’est pas cool ça, ma belle ?
-C’est quoi l’arnaque. Y’a pas marquer « La conne » sur mon front tu sais. Les magouilles fourreuses, je m’y connais. Autant te dire que ça finit toujours mal. Laissez-moi en dehors de tout ça, et j’dirais rien. Salut.
-En fait tu n’as pas le choix, demoiselle. Il souriait toujours, mais son sourire charmeur commençait sérieusement à me gonflé, ainsi que sa voix calme et grave. Les mecs de la ville, tous des chieurs. Tu as été choisie, point barre. Une fille viendrait prendre ta place. Personne n’y verra que du feu. Elle fera les trottoirs à ta place, pendant que tu te feras la manucure dans son salon. Vous avez le même physique, mais la vie complètement différente. Mon job est d’inverser tout ça.
-Et qu’est-ce que j’y gagne moi, môsieur. Ok, ne plus jouer à la pute, c’est cool. Mais j’ai une famille, des amies, là-bas, j’aurais quoi à pars de beaux ongles ?
- T’auras une nouvelle vie, un mari, un gosse, une grande maison, une garde-robe immense, et tout l’argent que tu veux. De toute façon, je te l’ai dit demoiselle, tu n’as pas le choix. »
Je fis mine de réfléchir, mais de toute façon ma décision était prise. Au pire, je n’avais pas le choix. J’allais vivre la grande vie, pour seul regret de ne plus vivre avec ma sœur. A ma place, vous auriez fait comme moi non ? Je regardai droit dans les yeux le bonhomme et sourit :
« Parfais mec ! Donc si j’ai bien compris, je dois faire genre que je suis une autre fille qu’à une vie de princesse, pendant que cette pouf prends ma place ici. » Il sourit et me répondit :
« Tout juste jeune fille. Mais fais gaffe, tu n’auras spas le droit de reprendre contact avec les personne d’ici, tu n’auras pas le droit de dire cela à quiconque, d’ici ou de là-bas, et tu devras jouer parfaitement le rôle de l’autre femme. Sinon…
- Couic ? » Dis-je, en mimant un couteau qui me tranchait la gorge. Il hocha affirmativement la tête. Bon, ba y’a plus qu’y aller alors.
Il me prit par le bras, et là, ma fameuse limousine de tout à l’heure apparut. Il me fit monter dedans, et ma nouvelle vie commença. Il me sortit tout un tas de papier, me servit un verre de champagne, ainsi qu’un ensemble bordeaux et des escarpins nacre, assortie à un cerf-tête. Il me demanda de lire en détail les papiers, ce que je fis avec beaucoup de mal, vu que je savais très mal lire. Il retraçait la vie, les goûts, les amis, les manies de la fille que je devais jouer. Puis je m’habilla et je me coiffa. Il me tendit un miroir, et j’eu du mal à me reconnaitre. Normal, je n’étais plus Terry la putain, j’étais miss Lily Parfaite. Grand changement hein ?
Mon « mari » et mon « fils » n’y virent que du feu. En fait, personne ne remarqua rien. Même mets « amies ». Au début, je trouvais cela existant et chouette. Je menais la grande vie au bras d’un beau gosse fortuné. Quoi rêver mieux ? Dès fois, je repensais à mon ancienne vie, mais « beaux gosse au sourire charmeur » m’avait conseillé d’éviter de faire ça, alors j’oubliais vite. J’avoue que l’idée de savoir qu’une fille jouait ma vie me stressait au plus haut point, mais dès que ma coiffeuse ou que mon couturier arrivait, j’oubliais tous ces petits tracas pour en avoir d’autre : quelle coupe aujourd’hui, quelle couleur mon chemisier ?
Aujourd’hui, c’est différent. Tout d’abord parce que je m’ennuie dans cette vie de merde. J’ai l’impression d’avoir perdue toutes les valeurs que m’a mère m’avais appris. J’ai l’impression de la trahir à chaque fois que je me glisse dans mes draps en soi, à chaque fois que je mets mon parfum Channel, ou à chaque fois que je dépense une fortune chez Dior. La vérité est que je ne peux m’en empêcher. C’est une drogue. Je plains la véritable Lily qui est obligé de se priver tout cela. Paix est son âme.
Ensuite, c’est diffèrent car j’ai remarqué que je suis suivit. Pas par des paparazzis, non. Par la milice de l’autre schnoc au sourire tombeur. Partout dans la maison, des caméras. Partout dehors, des mecs en noirs. C’est qu’ils ont peur que je fasse une connerie, les bidouilleurs de vie. Quelle bande d’enfoiré. Alors même si ça me dégoute, je me tais, car faire l’amour une fois par mois à mon mari, c’est mieux que dis fois par jours à des gros lards ivres qui ne veulent que ma chair fraiche. J’aimerais crier, mais je ne peux pas. Je suis trop lâche. Trop lâche pour mourir, trop lâche pour redevenir ce que j’étais. Lâche, voilà ce que je suis devenue.



Toc toc ?



PRENOM(S) & SURNON(S) ■ Alice, Lic. Si vous n'êtes pas content, trouvé s'en un :3
AGE ■ 14 piges
MULTICOMPTE ■ Non
SI NON, COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ■ Bah en fait chuis la fondatrice (a)
TA PREMIERE IMPRESSION ■ Mais ce forum est génial *.*
CODE DU REGLEMENT
Spoiler:
SUGGESTIONS OU IDEES POUR AMELIORER LE FORUM ■ Bah non
TON PLUS GRAND REVE ■ Devenir archi-célèbre ♥
TA COULEUR PREFEREE ■ Vert Pomme
TON ANIMAL PREFERE ■ Le hérisson et le perroquet
TA PLUS GRANDE PEUR ■ Mourir, ou perdre mes chveux. Mais je préfère mourir que perdre mes cheveux...Donc perdre mes cheveux =D
AUTRES ■ Je t'aime, toi petit être qui lit ma fiche et qui t'es inscrit -ou qui va s'inscrire- sur mon humble forum. Oui, je t'aime *sort*


Revenir en haut Aller en bas
http://<iframe src="http://weheartit.com/widget/gliciaa&
 
Lily A. Black - Fille des Trottoirs reconvertie
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Lily A. Black ♣
» Anniversaire de Lily
» (m) Léandre J. Black feat. Jude Law

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
• CHANGE YOUR LIFE • :: ARRIVEE :: Présentations :: Présentations finies-
Sauter vers: